Après la rentrée au campus le 14 septembre, la Première Cohorte a terminé leur deux semaines de quarantaine obligatoire ce dimanche. D’après les records de tests de Covid-19, depuis le 23 août, il y a eu deux cas positifs, 44 indéterminés et 4,150 négatifs et en ce moment il n’y a aucun membres de la communauté en isolation. D’après le site d’Andover, pour la semaine du 28 septembre, l’école était au niveau de Haut Risque de Transmission.
Maintenant qu’il n’y a plus la quarantaine, les élèves peuvent sortir de leur dortoirs sans superveillance en portant des masques et en respectant une distance d’au moins un mètre avec les autres, ainsi que d’enlever leur masques dans leur dorm pod (un petit group de personnes dans ton dortoir). Pour célébrer la fin des deux semaines de quarantaine, Andover a organisé un événement dans le Stade Phelps où les élèves pouvaient se faire des amis et manger de la glace.
D’après Ben Perez ‘23, il ne devrait pas y avoir trop de préocupation pour la transmission du Covid-19 sur le campus tant qu’Andover continue a administré des tests régulièrement et que la communauté suit les directives. Perez, un prefect (élève responsable pour les élèves de troisième) à Andover a vu la fin de la période de quarantaine comme une possibilité de revoir ses anciens amis et nouveaux prefectees (les élèves de troisième dont il est responsable).
«Je suis très excité! J’ai de l’espoir pour les élèves sur le campus et j’espère voir des visages familiers dans les semaines à venir… Nous pouvons maintenant être dans les chambres d’autres personnes qui sont dans nos dorm pods donc je suis impatient de passer plus de temps avec mes prefectees» a dit Perez.
Miles Lincoln ‘21 a également une perspective optimiste à propos de la fin de la quarantaine. D’après Palmer, multiples facettes de la vie sur le campus se sont améliorer depuis la fin de la quarantaine comme la nourriture, la liberté et le retour à la normalité sur le campus.
«Pouvoir marcher autour du campus, passer du temps avec nos amis et manger avec nos amis d’autres clusters (les quartiers sur le campus) lorsque nous voulons que le campus soit plus normal, ce qui est quelque chose que nous voulons tous. Je pense aussi que la nourriture lors du déjeuner et du dîner s’est amélioré. Je suis ravi de pouvoir passer du temps avec mes amis qui habitent loin de moi sur le campus et de pouvoir aussi passer du temps avec les habitants de mon dortoir pour aller voir des matches de basket et de football américain ensemble» a dit Palmer.
Pour Bianca Morales ‘24, la fin de la quarantiane a permis à Andover d’être plus comme une maison. Similairement à Palmer, elle pense qu’avec la fin des deux semaines de quarantaine, Andover a acquis un sentiment d’authenticité et une nouvelle liberté pour les élèves.
«Le plus gros changement est de pouvoir sortir du dortoir sans superveillance car avant c’était un peu réstrictif mas maintenant nous avons beaucoup plus de liberté et même en portant les masques et maintenant une distance d’un mètre entre les autres, cela ressemble a une expérience plus authentique d’Andover» a dit Morales.
Maximilian Dabbous ‘24 est excité de rencontrer de nouvelles personnes en dehors de son dortoir. D’après Dabbous, les réstrictions levées, comme les masques qui ne sont pas requis à l’extérieur si les élèves sont à plus d’un mètre de distance entre eux, sont des privilèges plutôt que des droits.
«Je suis prêt de commencé la prochaine période avec de nouveaux privilèges comme ne pas porter de masques dehors. Remarquez que j’ai dit privilège car porter un masque est une règle. Quand la règle est enlever dans un pod, par exemple, cela devient un privilège et ne devrait pas être abusé» a dit Dabbous.
Même si la période de quarantaine est terminé et que la socialization est autorisée, Andover est toujours conseillé de suivre le gouvernement et les directives du CDC qui encourage la distance d’un mètre entre le personnes et l’utilisation des masques. Palmer et Perez pensent tout les deux que la plupart du protocol a été respecté. Pourtant, les deux élèves pense que la distance d’un mètre entre les personnes doit être maintenu.
«La communauté a suivi le protocol du mieux possible mais il y a encore du travail à faire avec la distance entre les personnes» a dit Perez.
En addition de cette distance, Palmer est concerné de l’intégration des élèves commuants. D’après le plan actuel d’Andover, tout les élèves commuants qui ont été testé pour le Covid-19 et qui sont négatifs auront le droit de venir sur le campus après les 26 octobre. A partir de ce dernier weekend, les élèves de terminale et de première pouvaient venir sur le campus.
«Une plainte que j’ai entendu est que nous avons tous travaillé assidûment pour créer une bulle libre du Covid mais l’école permet maintenant aux élèves commuants de venir sur le campus lorsqu’ils peuvent aller n’importe où et faire d’importe quoi» a dit Palmer.
Malgré ses suspicions de l’intégration de la Deuxième Cohorte, Palmer a une perspective optimiste sur l’acceuil du reste des élèves.
«Je pense que les enjeux sont plus élevés, surtout si ils viennent dans les mêmes dortoirs que ceux de la Première Cohorte. Mais je suis optimiste, je pense que l’école a un plan très cohérent mis en place, donc si tout se passe comme pour la Première Cohorte, je pense que tout ira bien» a dit Palmer.
Translated by Nathalie Lelogeais