“Je ne savais pas qu’est-ce qui c’était passé avec l’aveux de Weber. Je ne pouvais pas tout à fait le croire,” a dit Nancy Jo dans sa pièce déchirante “L’Aveux de M. Weber.” Sales a écrit, que dans les années suivant la fin du Lycée, une de ses professeurs a avouer qu’il l’avait embrassée quand elle était une élève. Sales n’avait cependant aucun souvenir du rapport et était interdit d’être engagé dans les procès d’enquête. En essayant de tourner la page, elle a découvert un modèle de mauvaise gestion de confidentialité, participation et soutien des victimes pendant le processus d’enquête, des modèles qui sont similaires, sinon les mêmes dans les écoles autour du pays.
Étant des hommes hétérosexuels, on doit reconnaître que nous sommes moins probables de savoir les réalités de l’harcèlement sexuelle, auquelle beaucoup d’autres sont confrontés en dehors du campus. En outre, nous avons pas le pouvoir de parler dans la place de ceux qui ont deja connu la culture du viol. Cependant, même si nous ne sommes pas directement concernés, nous sommes partis d’un système et d’une culture qui perpétue et rend normal cette violence. En effet, en tant qu’él`eves à Andover, on a probablement vu ou entendu parler d’une culture de viol, qu’il s’agisse d’histoires de sifflements ou de blagues qui normalisent les agressions sexuelles. Ainsi cette récit nous montre la nécessité de lutter contre la culture de viol dans notre école et au-delà.
En comprenant ce qu’on doit atteindre par notre politique de l’école, nos actions individuelles et en communauté, on comprend que le silence ne peut pas être une. Le silence a longtemps été le précédent, même ici à Andover. En 2016, une enquête a démontré cinq cas séparés d’harcèlement sexuel à travers les années 1970 et 1980. L’harcèlement sexuel n’est jamais une incidente isolé, mais plutôt un probleme systématique qui se répète et est ancré dans la culture du campus aussi bien que dans les actions du l’administration, comme est montré par l’article de Sales. Nous ne pouvons pas régler la vies des élèves simplement par un email envoyé à l’école entière, la manière dont Andover répond souvent, vu aussi dans l’enquête de 2016. Suivant l’enquête, des initiatives d’élèves avec l’aide de l’administration ont ouvert des espaces désignés à la discussion, mais ont évité de réaliser des changements aux système de réponse aux cas d’harcèlement sexuel sur le campus. Malgré tout, l’administration n’a quasiment rien fait, laissant le même processus d’enquête et soutien aux victimes, qui ressemble l’approche problématique de Phillips Exeter Academy, qui omit les victimes du processus. Exeter, aussi bien que Andover sont distingués dans l’éducation secondaire autour du pays–les actions de notre école dit beaucoup, surtout dans cette période de l’attention du média. Ce sont les élèves eux-mêmes qui ont combattu le silence de l’administration. A Exeter, les élèves ont protesté contre le silence de l’administration qui n’a pas réussi à répondre à l’article de Sales. Donc, de rompre ce silence et cette stigmatisation qui entoure un problème aussi historiquement important, nécessite l’attention et le soutien de tous les membres d’une communauté. En étant membres d’une communauté qui vise á protéger le bien-être de tous les éleves, nous avons la résponsabilité de combattre la culture de viol en signalant à nos amis et à nos familles quand ils disent quelque chose problématique, en étant une allié aux victimes et en priorisant les victimes dans leur traumatisme et douleur. Ainsi, combattre ce silence ne doit pas toujours se manifester sous forme de condamnations fortes et visibles. Ça peut être aussi calme que de signaler une blague problématique ou aussi gros que d’organiser des mouvements. Quelque soit notre réponse, beaucoup d’entre nous vivent à Andover et pour être assuré que tout le monde dans notre communauté se sent respecté et en sécurité, nous ne pouvons plus accepter le silence comme une option.
Il y a une nécessité pour des réformes structurelles qui ne peuvent pas seulement comprendre une saine éducation sexuelle, mais aussi soutiennent, de la population administrative et celui des élèves, la réform du EBI, de devenir une espace où tout le mond peut vocaliser leurs inquiétudes, ou les sujets comme le harcèlement sexuel peuvent être discutés, et où la population d’élèves peut être réintégré en donnant aux clubs, comme YES+ ou les organisations associé avec le Brace Center, un rôle plus important dans la préparation des sujets d’EBI. Nous avons la responsabilité de dénoncer et de réparer les défauts dans les approches actuelles à le harcèlement sexuel, qui en ce moment ne sont pas suffisants pour adresser la sécurité et la bonne santé des élèves. Andover doit commencer par introduire des règles sur la transparence et une bonne communication pour s’assurer qu’il n’y aura plus de cas comme celui de Sales. Quand les voix des victimes sont entendues, il y a plus de place pour la responsabilité et la justice reconstituante, en particulier pour que les expériences des victimes soient centrales et priorisées. L’absence des aveux et remords va inévitablement produire de la douleur. Il est nécessaire de rompre le silence et de prendre des mesures envers le changement non normatif, si Andover veut éviter la négligence exposée par Exeter, dans leur traitement des cas de harcèlement sexuel sur leur campus.
En étant des hommes nous avons le privilège unique de pouvoir se sentir confortable et en sécurité pendant qu’on essaye d’être conscients de notre position quand on parle de ce problème. C’est notre responsabilité d’attirer l’attention à la culture de viol et d’être en solidarité avec les survivants d’harcèlement sexuel, et on fait appel aux autres gens d’indentification masculine sur ce campus de fair la même chose et lutter contre la culture de viol quand ils le voient. Utilise ton privilège pour de bon, et ne cède pas au silence.
Translated by Sara Romai